C'est arrivé le 31 janvier, je suis désormais papa pour la deuxième fois ( il s'agit cette fois-ci d'un garçon : un petit Loïc ).
Je ne vais pas m'épancher sur les joies que la paternité me procure car elles sont du domaine privé.
Le but de ce billet est juste de partager une impression ressentie ce matin : essayant désespérément de travailler, malgré un gros chagrin, inconsolable, que le petit partageait avec nous depuis quelques heures ; j'ai essayé le porte bébé pour pouvoir continuer à coder tout en essayant de réconforter Junior. Au même moment, passait en bruit de fond à la télévision un reportage animalier sur les kangourous.
Ma femme, rentrant dans la pièce à ce moment, a cru discerner un certain mimétisme entre le reportage télévisuel : à gauche des animaux sauvages, bébé sur le ventre se repaissant tranquillement ; à droite un marsupial technologique se nourrissant d'octets. Comme quoi, l'homme, malgré son génie, n'a de cesse d'imiter la nature :)
Je ne vais pas m'épancher sur les joies que la paternité me procure car elles sont du domaine privé.
Le but de ce billet est juste de partager une impression ressentie ce matin : essayant désespérément de travailler, malgré un gros chagrin, inconsolable, que le petit partageait avec nous depuis quelques heures ; j'ai essayé le porte bébé pour pouvoir continuer à coder tout en essayant de réconforter Junior. Au même moment, passait en bruit de fond à la télévision un reportage animalier sur les kangourous.
Ma femme, rentrant dans la pièce à ce moment, a cru discerner un certain mimétisme entre le reportage télévisuel : à gauche des animaux sauvages, bébé sur le ventre se repaissant tranquillement ; à droite un marsupial technologique se nourrissant d'octets. Comme quoi, l'homme, malgré son génie, n'a de cesse d'imiter la nature :)
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